mardi 25 février 2014

Cabinet des curiosité


Café au lait et réveil pas trop rapide.

J'ai encore fait un rêve à la con cette nuit. Ma mère était là, fille cadette d'une famille de 3 enfants (dont le frère ainé était interprété par Vincent Cassel.. Ni plus ni moins) qui se retrouvait après des années de haine pour l'enterrement de leur mère. The film français clicheton par excellence. Il y avait aussi une foire avec des attractions débiles inspiré de films. Mes potes jouaient a un jeu assez con, où il fallait réussir a faire en sorte que mon ami T. renverse toujours son café sur son fute (oui...).
L'attraction inspirée de film d'horreur s'appelait "La malédiction de manger" (le "ou d’être mangé" était implicite) et il fallat nager jusqu'a une plateforme de glace flottant sur l'eau. Le temps de nager jusque là, quelque chose s'accrochait dans votre dos : un genre de long baton, autour duquel était enroulé soit un arme, soit un poisson inofensif, soit un poisson très offensif. Je n'ai pas trop pigé le reste du concept si ce n'est qu'il fallait décidé de se servir de ce que l'on avait dans le dos ou s'en débarrasser, sans savoir ce que c'était. Le premier prix de ce jeu étant de survivre. J'ai le sommeil très gai, comme vous pouvez le voir.

En ce moment, je revois plein de film et je me fais des battle de musique pourrie par réseaux sociaux interposés (les héros du moment sont IceJJFish et Gnesa si jamais vous avez envie de vous faire saigner les oreilles). 
Mais surtout (en plus d'accorder enfin du temps à mon projet d'écriture \o/) je bouquine. Si, si !

Toujours dans le cadre de préparation de Workshop, j'ai lu Avoir un corps de Brigitte Giraud. Et j'ai le plaisir de vous annoncer que j'ai beaucoup aimé. Bon, c'est de la littérature française contemporaine, celle qui a visiblement très envie de ne surtout respecter aucune règles du récit littéraire, ce qui en général m'emmerde plus qu'autre chose mais là ça passe très bien. Ce roman raconte la vie d'une femme, une partie du moins, vécue à travers le corps. Les maladies, les jeux, les premiers amours, les blessures, les traumas, les drug's expeririment... La petite fille devient adolescente, femme, mère.. C'est très bateau dit comme ça, mais le rapport au corps omniprésent est très joli, très délicat et finalement rarement cliché (j'ai dit 'rarement'...). Ce corps est unique et pourtant on s'y reconnait souvent. C'est vraiment bien mené, sans trop de détours. Le ton est toujours un peu triste, contemplatif mais l'écriture est accessible, agréable et l'ensemble fonctionne.

Dans un autre genre (mais alors vraiment.. Rien  voir quoi..) J'ai aussi enfin pu prendre le temps de lire le Tome 2 de la trilogie Bartimeus : L'oeil du Golem. C'est très très bon. Moins que le tome 1 cependant. Une nouvelle voix vient rejoindre celle de Nathaniel et Bartimeus ce qui est très intéressant, car cela nous offre une triple vision des choses : Le démon, le gouvernement, la résistance. Cela dit, le défaut de ce deuxieme opus, au demeurant tout à afait addictif, ce sont les persos. Il n'y a pas a dire, ils sont tous réaliste, cohérents et c'est cool. Mais Nathaniel devient con. C'est, voulu, c'est dans la logique du truc sauf que c'est un peu frustrant. J'aimais bien le gamin du Tome 1, plus nuancé, ambitieux, prétentieux, mais qui avait de bonnes raisons d'avoir la rage et qui surtout restait au fond droit dans ses bottes. Là le gosse semble avoir oublié d'où il vient et son égoïsme croît au passage. Quand à Kitty, elle est très crédible mais le fait qu'elle soit toujours si vénère est un peu usant. J'ai eu deux ou trois fois envie de lui mettre une claque. Mais malgré cela, tout se tient et l'intrigue est très prenante. Jonathan Stroud use du même procedé que pour L'amulette de Samarcande en balançant plein plein pleiiiiin de trucs mystérieux en tout sens qui commencent à se résoudre seulement une vingtaine de pages avant la fin. Bref, une super gestion du suspens.


Pour changer de la fantaisy, j'ai lu de la SF pour ado et je suis restée perplexe. Effacée de Terri Terry est un roman qui m'a vraiment surprise et dont je ne sais pas trop quoi penser. Voyez-vous pour moi ce roman est un excellent... premier jet.
C'est à a dire, il y a de bonne idées, l'univers construit est intéressant, tout comme le désir évident de l'auteur de ne pas faire tomber ses personnages dans la caricature, en faisant de personnage antipathiques des alliés au fil du temps. Sauf que... On a l'impression que toutes les idées ont été écrites et puis laissées telles quelles. il ne manquait pas grand chose pour affiner les perso et leur trouver une attitude qui resterait la même de AàZ en dépit de l'évolution des relations. Mais au lieu de ça, le personnage de la mère (par exemple) est méchante et cassante au départ et pour nous faire comprendre qu'elle est dans le camps de l'héroïne, sa manière d’être change totalement. C'est dommage.
De même pour l'histoire. A vouloir créer un suspens, l'auteur appuie énormément sur les éléments "bizarre" qu'elle a introduit ce qui fait qu'on devine tout mille ans avant que ça sot révélé. Et comme l'héroïne (scenario oblige) ne pige rien, elle a gentiment l'air idiote. Bon, je passe sur l'histoire d'amour ridicule et fadasse et sur la fin (Révélation illogique et baclée genre "Oh mon dieu, il ne me reste que trois pages pour conclure ce livre, je vais tout balancer d'un coup !"), mais c'est vraiment étrange de lire ça par ce que ce n'est fondamentalement pas mauvais. Ça à juste l'air pas finit.

Petite pause musicale avec Syrano (que j'aime toujours autant, merci de demander)

La dernière fois, je vous avait promis une petite Surpreize et donc la voici la voila. Inspiré par les chronique littéraire de The Great Mustache , je me suis dit qu'il était temps pour moi de découvrir les monts et merveilles de la collection Harlequin (vous la sentez venir la critique de merde ?). Après un petit tour à la bouquinerie-salon-de-thé du coin, j'ai eu le plaisir de me voir offrir  Un si séduisant Milliardaire par la vendeuse, qui m'a annoncé, très sérieusement, que ce genre de livre permettait de rester jeune. Aucun doute la dessus si par "jeune" elle voulait dire "avec le niveau intellectuel d'un mollusque".  J'ai d'ailleurs été totalement conquise et je voulais partager ce bonheur avec vous.

Alors voila, Chloé est une actrice montante de le monde de la télévision. Très belle au naturel, talentueuse, modeste et fragile, Chloé combine ainsi sur les trois première pages un nombre incalculable de caractéristiques stupides, n'ayant aucune cohérence les unes avec les autres. On apprend d'ailleurs très vite que "Chloé" est un prénom maniéré et artificiel, trop sophistiqué et prétentieux, contrairement au prénom "Mary".  Je ne déconne pas, c'est écrit noir sur blanc en page 9.
Bref, notre pauvre chérie est éhontément manipulée par sa vilaine maman et son mari. Et alors ce jour là, boum badaboum, voila que l'assistante personnel de Chloé lui annonce qu'elle a une liaison avec son mari et qu'elle attend un bébé. Alors évidement, Chloé est sous le choc. Heureusement, son producteur, le séduisant Max Hart, qui veux la sauter a peu près depuis la 12em ligne, lui propose de l'herberger chez lui pour la libéré du joug de ces gros manipulateur qu'elle a pour mère et pour époux.

C'est là que le livre devient très mystérieux à mon sens, puisque de ce moment là, jusqu’à la fin, Max n cessera de manipuler Chloé a son tour pour la coller dans son lit. Mais apparemment, quand c'est lui, c'est moins grave (surement par ce qu'il " dégageait une virilité qui éveillait en elle d'étranges sensations, à la fois grisante et effrayantes ").

Donc voila Chloé qui laisse Max virer sa mère et son mari et qui se dit que "c'était elle qui dirigeait sa vie a présent" (Même si c'est ce bellâtre de max qui à tout fait. Bon.). Elle s'installe donc chez lui dans un pavillon de luxe ridicule où la jeune femme " se sentait enfin chez elle".  A partir de là, max va la dragué comme un dingue a coup de salade "délicieuses" (c'est de la salade quoi...), de cadeaux style "un petit chien" et de virées dans la piscine. C'est  a peu prêt arrivée à ce stade que je me suis dit que Emma Darcy, l'auteur, est tombée dans la marmite des adjectifs foireux étant petite. Max parle d'un ton vigoureux, fait des hochements de tête vigoureux, à le torse vigoureux. Ce mec n'en peu plus d’être vigoureux.

Aprés bon, des trucs insignifiants se passent et le texte est tellement pourri et répétitif que c’est très drôle. Puis le méchant mari débarque à l'improviste et s'attaque à Chloé ! Ha ! Quel suspens ! heureusement Max arrive et jette l'importun dehors. Il enlace Chloé tremblante de peur et évidemment, dans le feu de l'action, ils commencent à s'envoyer en l'air. Mais bien hein, pas comme dans la vraie vie. Je veux dire, Max file 3 orgasmes à Chloé en deux pages, allez vous rhabillez les mecs !

Ah ! Quelle belle couverture !
Je pense que je vais vous épargner la fin de l'histoire en détail, sachez seulement qu’après avoir prit son indépendance en louant une maison, subit de nouvelles tentatives de manipulation de sa mère et découvert que son assistante avait mentit en disant qu'elle était enceinte pour lui exhorter de l'argent, Chloé finit par retourner vivre chez Max :
"- La maison est impatiente de te retrouver. ta présence solaire lui a manqué à elle aussi... Ne la faisons pas attendre d'avantage. 
Incroyablement romantiques, les paroles de Max l’emplir d’allégresse". 
J'ai du me foirer quelque part dans la définition de romantique ... Enfin bon, Chloé devient riche, amoureuse, heureuse et c'est drolement chouette.

Bref, j’envisage sérieusement de commencer une collection d'Harlequin pour me faire une petite biblio dans les toilettes.


Sur cette belle histoire, je vous laisse, j'ai plein de trucs chiant à faire aujourd'hui et je sens que mon pyjama a envie que je lui foute la paix. 

Bien à vous, Scrat

vendredi 14 février 2014

Cimetière

Lecture en cours : L'oeil du Golem - Jonathan Stroud

Tisane et brusque prise de conscience : Gosh ! J'ai pas fait d'article depuis des plombes j'ai plein de trucs en réserve.
Un petit point sur ma vie : J'ai foiré mon concours de Biblio. Bien salement. Je n'escomptais pas l'avoir du premier coup mais la note pique un peu. En revanche mon premier semestre s'annonce bien. je ne cri pas victoire par ce qu'il me manque encore beaucoup de résultats mais bon.. Celles que j'ai sont satisfaisante. En dehors des cours, je suis sur deux projet. D'abord je participe à l'appel à texte de Fabrice Colin  pour un projet sur la mort (c'est par ici pour ceux qui seraient tentés) et aussi je suis en train de travaillé sur une nouvelle pour le concours de Geekopolis (et c'est par là). 
Bref je passe toujours ma vie à écrire et à ne pas mettre un orteil hors de chez moi excepté pour acheter des clopes. Mais bon, comme je sature vite à rester concentrée je m'octroie quelques pauses. 


La dernière fois, j'avais complétement oublié de parler de La vie rêvée de Walter Mitty (Ben Stiller) Et c'est dommage par ce que c'est un bon film. Si vous avez un peu la fibre voyageuse, vous aurez du mal à ne pas acheter immédiatement un billet d'avion pour l'autre bout du monde. C'est un peu cliché mais il y a aussi des trucs assez surprenant et dans l'ensemble l'histoire est bien ficellée. On dose un peu de d'humour, un peu de rêve, un peu de chagrin, un peu de mystère et POUF, on obtient un scénario sympathique rehaussé d'image superbes.

Sinon, j'ai évidemment été voir le dernier Miyazaki : Le vent se lève
Il y a beaucoup de choses qui m'ont déplus. Je ne m'attendais pas à ce que ça soit son meilleur film mais c'est même un peu plus décevant que ça. Il manque la touche de poésie et de magie qu'il y a d'habitude. Enfin en tout cas, moi ça m'a échappé. La romance est complétement surréaliste et sans saveur (bon les perso tombent souvent amoureux sans raison chez Miyazaki mais là, ça n'a vraiment pas fonctionné) et puis e sujet ne m'a pas fait palpité (les avions c'est pas mon truc).  Et plus de ça c'est long. Mon dieu que c'est long ! Je me suis vachement ennuyée en fait. Je ne pense pas que le film soit mauvais, mais c'est sur que je n'avais pas la sensibilité pour trouver ça chouette.


Aprés je me suis fait une session d'adaptation de roman de Jane Austen. J'adore cet univers mais il existe tellement d'adaptation ciné que j'en avait raté plein. 
Bon, déjà, il y à le film Emma l'entremetteuse (Douglas McGrath), un monument du genre, ou on peut voir Ewan McGrégor en jeune perso secondaire. Trés... perturbant. Mais bon quoi qu'il en soit ça ne m'a pas trop fait vibrer. Fin c'était parfait dans la fonction de "film a regarder tranquillou aprés une journée de taff" mais sans plus. C'est probablement lié au personnage d'Emma  lui-même qui est assez peu attachant. Il faudrait que je jette un oeil au bouquin pour confirmer mes soupçons (je crois que je l'ai quelque part dans ma bibliothèque)

J'ai été beaucoup plus convaincue par l'adaptation de la BBC de Mansfield Park ou l'on retrouve Bille Piper (allias Rose de Docteur Who) dans le rôle principal.
Pour le coup j'ai passé un très bon moment. J'ai trouvé tous les personnages attachant dans leurs genre sans être jamais caricaturaux. Fanny l'héroïne n'est pas parfaite mais ces imperfection servent à rendre le personnage crédible et chouette (contrairement à Emma donc..). Évidement, rien ne détronera Orgueil et préjugés (oui j'ai des gouts atrocement banals) dans mon coeur mais cette adaptation se place assez bien. au classement

J'ai également découvert la série Vicious, qui nous parle d'un vieux couple gay qui passent leur temps à se friter et à se meler de la vie de leur jeune voisin. J'avais été très séduite par le Casting (Ian McKellen, Derek Jacob, Iwan Rheon), mais au final l'humour ne me touche pas des masses. L'ambiance est très british, legerement cynique, les ingredents était là pour que ça déchire mais enfait... Pas tant que ça. 

Pour finir dans la cétégorie audivisuelle, je sors tout juste du cinéma où j'ai été voir la nouvelle adaptation de La Belle et la Bête (Christophe Gans). Et c'est encore une déception. Ok, les images sont grandiose. sans déconner les décors sont magnifiques. mais l'histoire ... Oh il y avait bien quelques bonnes idées mais bon.. Déjà elles trainent tellement en longueur qu'on devine tout avant la fin, ce qui pète quand même un peu le suspens. Et puis ils ont juste ruiné l'histoire d'amour. je vux dire c'est quand même la base de l'histoire : comment deux êtres vont passé au dela des apparences et se transformer au contact l'un de l'autre. Bon bah là, cette partie du conte a du être considéré comme négligeable par ce qu'on passe de "Vous me répugnez" à  "Je vous aime" sans explication, sans transition. il est clair que celui qui à écrit le scénario n'a absolument pas bitter les enjeux de cette histoire. Et c'est sans compter le jeu de Léa Seydoux qui, c'est officiel, est pour moi une mauvaise actrice. Mais très mauvaise hein. On va de cliché en cliché avec des émotions ridiculement marquées. Bref ça n'égale ni la version de Cocteau, ni la version de Disney malgré le luxe d'images sublimes. C n'était pas la peine de se donner tant de mal pour les décors si c'était pour bâcler l'histoire. Un film creux, tout à fait dispensable de mon point de vue. 

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J'ai trouvé le temps de bouquiner un peu aussi. Mais état donné l'arrivé de livre-pour-la-fac dans mon emplois du temps, ma liste initiale de lecture n'a pas beaucoup avancée. 
Commençons donc par le pire : Réparer les vivants de Maelys de Kerangal. Erk. un vrai calvaire. L'auteur s'écoute écrire tout du long et nous laisse sur le carreau. On ne croit pas aux réactions des persos, on apprécie personne, les digressions supposé nous faire un portrait-back-ground des personnages sont juste chiant, l'aspect hyper-médcalisé renforce le pathos. J'ai franchement eu du mal à en venir à bout. 
J'admet que le sujet etait difficile à traiter  : une transplantation cardiaque qui va des causes de l'accident du donneur à la fin de l'opération du receveur. C’était un pari risqué. Et raté à mon avis; Après il y en a beaucoup qui encense ce livre, quelque chose à donc du m'échapper. Je suis totalement passé à coté. Il y a eu une ou deux phrases de grâce qui rendre le livre encore plus frustrant puisque l'auteur est capable de réflexion intelligentes. Mais je ne pense pas remettre le nez dedans un jour. 

Il y a eu aussi Kinderzimmer signé par Valentine Goby. Je pars déjà avec un a priori positif avec cet auteur mas dans l'ensemble ce n'est pas un coup de coeur non plus, loin s'en faut. Personnellement je n'en peu plus des livres et des films sur les camps de concentration. En l’occurrence, je pense que le portrait qui en est fait est pertinent. La répétition dans le texte sert l'histoire puisqu'on vit avec une régularité atroce le quotidien des femmes enfermées. Et l'auteur a un rapport au corps très intime qui soulève des questions follement intéressantes. Mais ça reste un texte dense, difficile a traverser. Et encore une fois, je suis un peu passé à coté de l'émotion. C'est peut-ètre moi qui déconne ?
Je crois que la littérature contemporaine française, la graine de prix, ça ne fonctionnera jamais avec moi. Trop conceptuel. Un peu chiant. ça ne parle absolument pas. 

En revanche j'ai lu un excellent bouquin de Jesse Bullington, qui s'appelle Danse Macabre. Historique flirtant avec l'horreur, j'avais peur de ne pas entrer dans l'univers mais en fait ça roule tout seul. Ca se lit très très vite malgré le nombre de page, le temps écoulé dans le récit et une écriture parfois alambiquée.  C'est brillant, glauque mais sans jamais être asphyxiant au point de détester, on a toujours envie de passé au chapitre suivant pour en apprendre davantage et ce rythme soutenu m'a convenu a merveille, même s'il a un peu grappillé sur mes nuits. C'est assez unique comme style et comme atmosphère. ça vaut le coup d'oeil. En plus le bouquin est canon ce qui ne gâche rien. 



J'avais aussi une autre petite perle à vous faire partager mais il commence  à se faire tard aussi je reviendrai vous parler de tout ça à un autre moment. 

Je vous quitte avec un peu de Pattie Smith pour me faire pardonner. 


Bien à vous , Scrat