jeudi 26 juillet 2012

Placard

Lit. Clope. Ventilateur.
J'ai remplacé le traditionnel café par du Yop (chaleur oblige...)

Semaine un peu molle sur le plan culturel.
J'ai passé presque toutes mes soirées à mourir de chaud avec F. et à écrire. Ça n'avance pas trop mal, merci.
Journée plage hier. Je pense que le soleil, ça se passe de commentaire.

Ai achevé la lecture du Tome 2 de Winterheim et je compte terminer le tome 3 aujourd'hui. Je vous en reparle bientôt.

A part ça j'écoute la musique de Bref. C'est un peu répétitif mais ça colle bien à mon état d'esprit de bigorneau en vacance.



La semaine dernière, je suis tombée sur un petit bouquin édité chez L'école des loisir (collection Medium) sur Marie-Aude Murail. Pas de révélations fracassantes mais j’apprécie ce que je découvre, par ce que j'aime vraiment infiniment cette femme qui fait partie de ma vie depuis un sacré bail.

J'ai découvert D'amour et de sang quand j'avais 11 ans et j'ai commencé à lire les romans de Marie-Aude Murail de manière boulimique. Son art de la formule, de l'humour et de la tendresse est, semble il, infini.

"Je suis une usine à phrases, du matin au soir, du soir au matin. [...] Je passe mon temps a changé le monde en phrases. Dans ma vie, très souvent, j'ai une première réaction épidermique qui est douloureuse. Cinq minutes après je me demande "Ah tiens? Si c'était arrivé à Emilien?" A ce moment là, je revis la scène et c'est drôle. Je me dis que le bonheur sur la terre, c'est peut-être de savoir quoi faire de son malheur."

Bien à vous, Scrat

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