Traditionel café-clope et réveil difficile.
Décaler son rythme de sommeil est, en définitive, plutôt aisé, mais le remettre à l'endroit ...
En ce moment, je regarde les Docteur Who (la deuxième série).
Honnêtement, au début je n'ai pas accroché. Il faut dire que c'est quand même méga kitsh. Ça pullule d'effet spéciaux pourris, de raccords-histoires illogiques et les extraterrestres sont super dégueulasses et pas originaux. Mais étonnement a partir du moment où c'est David Tennant qui joue le Docteur, la série gagne en intérêt (Moi ? Superficielle, vous avez dit ?).
De plus, au début, je ne pouvais pas supporter Rose. Mais depuis l'arrivée de Martha, elle me manque. C'est dommage pour Martha d'ailleurs par ce qu'elle à un bon potentiel. Elle est intelligente et a souvent de bonnes réactions (et ce, bien plus vite que Rose). Si elle n'était pas aussi ridiculement éprise du Docteur, elle serait nettement moins agaçante.
Mais bon je prends sur moi par ce qu'au final, comment résister à ce sourire là (et aux autres, à la réflexion...) ?
J'en profite aussi pour faire une mention spéciale sur Harry Lloyd qu'on connait surtout pour son interprétation de Viserys Targaryen dans Game of Throne. Mais c'est aussi lui qui joue le -très doux- Will dans la série Robin des bois de la BBC. Et après l'avoir vu en extraterrestre flippant dans Docteur Who, je me dis que ce mec à l'air d'être capable de jouer n'importe quoi. Qualité que j'apprécie chez les acteurs.
Tout ça pour dire que j'ai hâte de le voir dans autre chose que des séries.
Aller, paf, j'ai pas peur, pour faire la transition, aujourd'hui, ça sera Alice Cooper
Bon, quoi d'autre ?
Ah si. Comme annoncé à la fin de mon dernier post, j'ai lu Plastic Jesus qui se révèle être méga-court !
J'ai bien aimé. Au final les noms ont été changé, et même si on devine les Beatles derrière les Kydds, il est tout a fait possible de le lire comme une histoire différente.
C'est un récit très calme en dépit de la violence de certains événements racontés. Par ce que l'on est dans le souvenir narratif et que c'est Peyton (avatar de Paul McCartney) qui raconte. Malgré son incroyable simplicité c'est un beau livre que Poppy Z Brite signe là. Très touchant, peut être justement par ce qu'il ne s'arme d'aucune fioritures.
Il pensait qu'être petit et soigné était infiniment préférable a être grand et débraillé.
Il avait vu Seth comme quelqu'un de grand et débraillé, même si ça n'était pas le cas. [...] C'était sa présence qui était grande et débraillée; elle débordait partout, s'étendait sur les choses, le faisant sembler plus élancé qu'il n'était en réalité.
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Mon cendrier regorge d'allumettes par ce que j'ai la flemme d'aller chercher mon briquet (et ce depuis deux jours...)
Et je fais des rêves ridicules. Cette nuit, encore une histoire de salle de classe, plus ou moins. Mi-BU, Mi-salle d'art plastique. Je passais devant les différentes tables, les bras chargés de livres (afin d'étudier les nombres premiers... Ouais je sais j'ai arrêté les math en première...). A l'autre bout de la salle, K. faisait de l'aquarelle en discutant avec une fille devant lui.
Il venait me parler à la pause avec ses cheveux dans les yeux et j'étais embêtée par ce que c'était l'heure de Docteur Who et que cette fois, il était dans la série. Bref j'étais déchirée entre sa présence réelle et sa présence fantasmée.
Le rêve se termine sur la quête de mes godasses, qui s'avère être des sneakers au motif de Oumpah-pah le peau rouge. Et laissez moi vous dire que si je les trouve en vrai un jour, je les achète direct !
A part ça, pas de grosse nouveauté au niveau ciné, excepté Associés contre le crime le nouveau Pascal Thomas sur les aventures de Prudence et Bélisaire.
J'avais clairement adoré les deux premiers, mais cette fois j'ai été déçue. Le film est drolement long pour une histoire dont on devine les coupables à la première rencontre. J’espérais que cela serait compensé par la découverte du tour de passe-passe permettant de faire rajeunir. Sauf que... DÉCEPTION ! Voila, qu'on rentre dans le surnaturel. J'adore le surnaturel hein... Mais là, ça ôte juste tout intérêt a l'histoire.
Heureusement, on ne passe pas un mauvais moment, par ce que le duo central reste très drôle.
Bon, je vais aller chercher mon briquet, par ce que dans la vie des fois il faut prendre des decisions drastiques. Ça y'est, je suis un homme !
Pour conclure, une citation d'un livre que je n'ai pas encore lu, mais ça ne saurait tarder par ce que ce passage, même isolé du reste, me bouleverse au delà du delà.
En attendant la fin d'un hivers séculaire, nous ferons pousser la vie sur des sols arides.
Des coquelicots pour Lionne, des tournesols pour Lou
L'apocalypse de Jonathan - Samuel Dock
Bien à vous, Scrat
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